de fred bonnet » 04 Mar 2012, 03:11
Je voudrai rermercier les deux réalisateurs de ce diaporama.
J'ai passé en 1968, neuf mois au pays des hommes bleus, les touaregs.
L'atmosphère qui se dégage des images est bien représentative de ce grand désert qu'est le Sahara.
Une merveille de la nature où l'homme doit se confondre pour en pénétrer toute la puissance et la rudesse.
Il est très difficile d'y vivre, et j'admire ces hommes et ces femmes qui savent se contenter de peu pour se nourrir. Ils sont pourtant très résistants. Le soleil et la chaleur, ils savent s'en protéger, ainsi que du simoun, ce vent de sable qui monte dans le ciel parfois jusqu'à trois mille mètres et obscurcit l'atmosphère. Les grains de sable projetés à grande vitesse sont autant d'aiguilles qui tanspercent et pénètrent partout.
Leurs tentes sont si belles et si bien adaptées au désert, quil faut s'en approcher pour les distinguer.
Ils ont un moyen de transport des plus écologique, le dromadaire, qui lui aussi s'est adapté aux conditions extrèmes sur les regs et les ergs.
Les hamadas, ces montagnes tabulaires, sont pypiques de cette région.
Certaines, érodées, prennent parfois des formes de chateau fort en ruine. Ce sont les "Bous", commes les nomment les hommes bleus.
Je vais m'arréter là dans mon commentaire, car je pourrai écrire des dizaines de pages sur cette région et ces hommes.
Je n'avais pas d'appareil photo à l'époque et je le regrette. Vous m'avez comblé avec ces belles images numérisées. Bravo!
Je voudrai rermercier les deux réalisateurs de ce diaporama.
J'ai passé en 1968, neuf mois au pays des hommes bleus, les touaregs.
L'atmosphère qui se dégage des images est bien représentative de ce grand désert qu'est le Sahara.
Une merveille de la nature où l'homme doit se confondre pour en pénétrer toute la puissance et la rudesse.
Il est très difficile d'y vivre, et j'admire ces hommes et ces femmes qui savent se contenter de peu pour se nourrir. Ils sont pourtant très résistants. Le soleil et la chaleur, ils savent s'en protéger, ainsi que du simoun, ce vent de sable qui monte dans le ciel parfois jusqu'à trois mille mètres et obscurcit l'atmosphère. Les grains de sable projetés à grande vitesse sont autant d'aiguilles qui tanspercent et pénètrent partout.
Leurs tentes sont si belles et si bien adaptées au désert, quil faut s'en approcher pour les distinguer.
Ils ont un moyen de transport des plus écologique, le dromadaire, qui lui aussi s'est adapté aux conditions extrèmes sur les regs et les ergs.
Les hamadas, ces montagnes tabulaires, sont pypiques de cette région.
Certaines, érodées, prennent parfois des formes de chateau fort en ruine. Ce sont les "Bous", commes les nomment les hommes bleus.
Je vais m'arréter là dans mon commentaire, car je pourrai écrire des dizaines de pages sur cette région et ces hommes.
Je n'avais pas d'appareil photo à l'époque et je le regrette. Vous m'avez comblé avec ces belles images numérisées. Bravo!
