de MP_DCcn » 22 Juin 2013, 01:33
" JLT DIAPORAMISTE ET MARTYR " de Jacques Van de WEERDT
L'analyse de Michèle Paret :
En voilà une bonne introduction à « la semaine Jean-Louis Terrienne » sur notre site préféré !
Je dois dire que l’initiative est à la fois osée et utile. J’espère que tous ceux qui ont téléchargé des œuvres de notre ami Terrienne auront regardé le diaporama de Jacques auparavant ou alors que ces quelques lignes de ma part leur donneront envie de le faire après. Comment oser écrire, faire une biographie, voire une « diaporamagraphie », si j’ose le terme, d’un personnage encore en activité et bien actif ?
Pour permettre de mieux le comprendre et sans doute éviter des malentendus. Il me semble que cette introduction à l’œuvre du « martyr » prend toute son importance pour mieux comprendre l’homme quelque peu « bizarre » et déroutant.
Personnellement, il y a des moments où le personnage m’insupportait, par son omniprésence dans ses diaporamas, son désir immodéré de médailles et breloques en tout genre, de reconnaissance, peut-être tout simplement ?
Oui, son côté « bête à concours » me déplaisait, il le sait. Comment oser produire « Triple flop », pour moi, la caricature même de ce que j’ai toujours abhorré, dans ma vie d’étudiante, de prof, dans ma vie tout court ? Les effets gratuits, les mouvements divers et variés m’énervaient au plus haut point. Combien de discussions avons-nous eues pour savoir si la forme l’emportait sur le fond : querelle des Anciens et des Modernes !!!
Cependant, je dois lui reconnaître des talents et une immense culture littéraire et musicale (pour moi, quelque chose de primordial), une sensibilité indéniable. Jacques l’analyse très bien en parlant de son utilisation de Ferré dans « Elstir » et de ce beau diaporama où il rend hommage à son épouse en évoquant le temps qui passe. Oui, il y a un côté « gamin » dans certaines de ses œuvres, on ne peut pas le nier, mais le diaporama n’est-il pas une certaine forme de thérapie ? Quand on écrit, quand on compose, quand on réalise une œuvre, de quelque nature qu’elle soit, on se met un peu à nu.
Rendons hommage à Jacques van de Weerdt pour son diaporama. Non, Jean-Louis ne vivra pas le martyre de Saint Sébastien, même si de nombreuses flèches l’ont atteint, mais pas mortellement, fort heureusement.
[size=18][b]" JLT DIAPORAMISTE ET MARTYR " de Jacques Van de WEERDT [/b][/size]
[b]L'analyse de Michèle Paret :
En voilà une bonne introduction à « la semaine Jean-Louis Terrienne » sur notre site préféré !
Je dois dire que l’initiative est à la fois osée et utile. J’espère que tous ceux qui ont téléchargé des œuvres de notre ami Terrienne auront regardé le diaporama de Jacques auparavant ou alors que ces quelques lignes de ma part leur donneront envie de le faire après. Comment oser écrire, faire une biographie, voire une « diaporamagraphie », si j’ose le terme, d’un personnage encore en activité et bien actif ?
Pour permettre de mieux le comprendre et sans doute éviter des malentendus. Il me semble que cette introduction à l’œuvre du « martyr » prend toute son importance pour mieux comprendre l’homme quelque peu « bizarre » et déroutant.
Personnellement, il y a des moments où le personnage m’insupportait, par son omniprésence dans ses diaporamas, son désir immodéré de médailles et breloques en tout genre, de reconnaissance, peut-être tout simplement ?
Oui, son côté « bête à concours » me déplaisait, il le sait. Comment oser produire « Triple flop », pour moi, la caricature même de ce que j’ai toujours abhorré, dans ma vie d’étudiante, de prof, dans ma vie tout court ? Les effets gratuits, les mouvements divers et variés m’énervaient au plus haut point. Combien de discussions avons-nous eues pour savoir si la forme l’emportait sur le fond : querelle des Anciens et des Modernes !!!
Cependant, je dois lui reconnaître des talents et une immense culture littéraire et musicale (pour moi, quelque chose de primordial), une sensibilité indéniable. Jacques l’analyse très bien en parlant de son utilisation de Ferré dans « Elstir » et de ce beau diaporama où il rend hommage à son épouse en évoquant le temps qui passe. Oui, il y a un côté « gamin » dans certaines de ses œuvres, on ne peut pas le nier, mais le diaporama n’est-il pas une certaine forme de thérapie ? Quand on écrit, quand on compose, quand on réalise une œuvre, de quelque nature qu’elle soit, on se met un peu à nu.
Rendons hommage à Jacques van de Weerdt pour son diaporama. Non, Jean-Louis ne vivra pas le martyre de Saint Sébastien, même si de nombreuses flèches l’ont atteint, mais pas mortellement, fort heureusement.
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