de dccn » 06 Déc 2005, 13:57
"NĂ© pour ĂȘtre heureux" de Christian Arzalier
L'analyse de MichĂšle Paret:
" A des proches dont la vie m'a inspirĂ© ce diaporamaâŠ" Lorsqu'on lit cette phrase Ă la fin du diaporama, on comprend pourquoi il s'en dĂ©gage une telle Ă©motion. Une histoire aussi belle et aussi poignante ne pouvait pas ĂȘtre inventĂ©e. Le texte est trĂšs beau, trĂšs fin et la voix de Christian Arzalier convient parfaitement. J'ai beaucoup apprĂ©ciĂ© ce diaporama bien construit, sa douceur et la sĂ©rĂ©nitĂ© qui en Ă©manent. Au dĂ©but, pas de musique, rien que des bruits de la nature, des cloches, des chants d'oiseaux ( peut-ĂȘtre un peu trop forts )⊠Peu Ă peu, l'auteur introduit des phrases musicales pathĂ©tiques qui accentuent l'angoisse et la "folie" de Marie et qui renforcent le mutisme de Jean-Marie. Tout semble figĂ©, immuable, la vie de Jean-Marie comme les eaux dormantes du canal. Les instants se suivent, mais le temps, tout comme l'eau s'Ă©coulent Ă peine. Les images sont trĂšs belles, bien composĂ©es, j'ai admirĂ© les graphismes, les berges rectilignes, les reflets Ă la surface du canal, les dĂ©tails Ă la fois dĂ©risoires et Ă©vocateurs. J'ai beaucoup aimĂ©. Mais, trois vies gĂąchĂ©es par la bĂȘtise humaine, c'est dur.
PS : un tout petit, petit détail. Marie aurait-elle à l'époque porté un bandana ?
[size=150][b]"NĂ© pour ĂȘtre heureux" de Christian Arzalier[/b][/size]
[img]http://diaporama.numerique.free.fr/imf/nepour.jpg[/img]
[b]L'analyse de MichĂšle Paret:
" A des proches dont la vie m'a inspirĂ© ce diaporamaâŠ" Lorsqu'on lit cette phrase Ă la fin du diaporama, on comprend pourquoi il s'en dĂ©gage une telle Ă©motion. Une histoire aussi belle et aussi poignante ne pouvait pas ĂȘtre inventĂ©e. Le texte est trĂšs beau, trĂšs fin et la voix de Christian Arzalier convient parfaitement. J'ai beaucoup apprĂ©ciĂ© ce diaporama bien construit, sa douceur et la sĂ©rĂ©nitĂ© qui en Ă©manent. Au dĂ©but, pas de musique, rien que des bruits de la nature, des cloches, des chants d'oiseaux ( peut-ĂȘtre un peu trop forts )⊠Peu Ă peu, l'auteur introduit des phrases musicales pathĂ©tiques qui accentuent l'angoisse et la "folie" de Marie et qui renforcent le mutisme de Jean-Marie. Tout semble figĂ©, immuable, la vie de Jean-Marie comme les eaux dormantes du canal. Les instants se suivent, mais le temps, tout comme l'eau s'Ă©coulent Ă peine. Les images sont trĂšs belles, bien composĂ©es, j'ai admirĂ© les graphismes, les berges rectilignes, les reflets Ă la surface du canal, les dĂ©tails Ă la fois dĂ©risoires et Ă©vocateurs. J'ai beaucoup aimĂ©. Mais, trois vies gĂąchĂ©es par la bĂȘtise humaine, c'est dur.
PS : un tout petit, petit détail. Marie aurait-elle à l'époque porté un bandana ?
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